Combien d’entreprises et indépendant.e.s bruxellois.es déclarent avoir mis en œuvre des actions d’économie circulaire ou d’entrepreneuriat social ? Quelles sont-elles ? Quels sont les bénéfices qu’elles/ils ont pu tirer de leur démarche ? Quelles difficultés ont-elles/ils rencontrées ?
Plus de 9 entreprises sur 10 (93%) s’engagent dans l’économie circulaire, majoritairement au travers d’actions dites d’éco-gestion, à savoir le tri des déchets, la réduction de la consommation de ressources (énergie, eau et matières) et les achats de ressources durables.
Près de 9 entreprises sur 10 (88%) déclarent avoir mis en œuvre une ou plusieurs actions qui améliorent leur impact social, par ordre d’importance : veiller à appliquer un prix juste (76%) ; privilégier des partenaires locaux (60%) ; créer un environnement inclusif (53%).
15% des entreprises déclarent proposer un service de location en plus de la vente de produits afin d’éviter la surconsommation. Cependant, la moitié des entrepreneur.euses estiment qu’il n’est pas possible de proposer un service de location dans le cadre de leur activité.
62% des entreprises déclarent accorder un degré élevé d’autonomie à leurs employé.es et 56% d’entre elles prennent en compte l’avis de différentes parties prenantes (client.es/bénéficiaires, fournisseur.euses, citoyen.nes, etc.) dans leurs décisions.
Satisfaction personnelle, bénéfices pour l’environnement et bénéfices économiques et financiers sont les trois principaux avantages perçus par les entrepreneur.euses qui ont mis en oeuvre des actions visant à améliorer l’impact environnemental de leur activité.
Un meilleur positionnement de l’entreprise (image, notoriété, différenciation vis-à-vis de la concurrence,…), un environnement de travail plus agréable et des bénéfices économiques et financiers sont les trois principaux avantages identifiés par les entrepreneur.euses qui ont mis en oeuvre des actions améliorant l’impact social de leur activité.
Les principales difficultés rencontrées dans la mise en œuvre d’actions de réduction d’impact environnemental sont d’ordre économiques et financières (pas ou peu de création de nouveaux revenus, difficulté à trouver des financeurs,…) et relatives au marché propre à l’activité menée (pas ou peu de demandes de la clientèle, recherche de bons fournisseurs, …).
* manque de compétences, de personnel, de temps…
Les principales difficultés rencontrées dans la mise en œuvre d’actions relatives à l’impact social sont également d’ordre économiques, financières et liées au marché (pas ou peu de demande des clients, difficulté à identifier les bons fournisseurs,…).
* manque de compétences, de personnel, de temps…
Consultez le rapport détaillé des résultats de l’étude.
Rapport 2023Rapport 2021
